Faisons une petite pause dans la série des olympiades pour parler bocaux.

Cette année, je n’ai pas eu de chance avec les tomates. Mes semis ont tardé, donc j’ai planté en terre trop tard. Ensuite les plants se sont bien développés mais j’ai du les planter trop près… bref, ils ont eu la maladie.

Heureusement pour moi, j’ai une super covoitureuse (avec un magnifique potager) et des voisins généreux (avec une serre immense *o* ). J’ai donc eu la chance d’avoir des tomates du jardin tout l’été.

Nous en avons mangé en salade principalement.

Mais en ce mois de septembre, nous avons réalisé tous nos bocaux pour l’hiver. Les betteraves étaient déjà en bocaux. Place donc aux tomates pelées et aux haricots (nous verrons cela une autre fois 😉 ).

En soit, la réalisation de bocaux n’est pas compliquée, elle est juste un peu longue.

Pour 6 bocaux, j’ai utilisé environ 30/35 tomates.

La première étape est de préparer les tomates. Pour ma part, j’aime les peler avant de les stériliser mais je sais pas ma covoitureuse les stérilise avec la peau.

Pour chaque tomate, il faut donc les plonger dans une casserole d’eau bouillante pendant 30 secondes. Puis, il faut les déposer dans un saladier rempli d’eau froide. La peau se retire toute seule ainsi.

Je retire également le pédoncule de la tomate. Ainsi quand j’utilise les bocaux l’hiver, c’est prêt à l’emploi !

Ensuite remplissez chaque bocal avec les tomates pelées. Ajoutez une pincée de sel et recouvrez d’eau aux 3/4.

Beaucoup remplissent le bocal totalement mais j’avais peur que les tomates rendent de l’eau.

Nettoyez bien le joint, déposez-le à l’intérieur du couvercle et fermez le bocal. Retournez-le. Si de l’eau s’échappe, le bocal n’est pas hermétique et il faudra en changer.

Déposez les bocaux tête en haut dans le stérilisateur. Recouvrez d’eau (3 cm au dessus des bocaux). Fermez le stérilisateur et mettez à chauffer.

Laissez cuire 1h à 100°C. Il faut donc attendre que l’eau soit à 100°C pour lancer le chrono

Laissez les bocaux refroidir dans le stérilisateur.

Et voilà, vivement cet hiver que l’on puisse goûter ces bonnes tomates pelées !

Un petit mot chéri ?

 Les bocaux « maison » c’est l’avenir !

Galou & Thomas